René
(...)
«...comment exprimer cette foule de sensations fugitives, que j'éprouvais dans mes
promenades ? Les sons que rendent les passions dans le vide d'un coeur solitaire
ressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d'un
désert : on en jouit, mais on ne peut les peindre.»
(...)
François-René de Chateaubriand
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